ANALYSE – En remportant la compétition, l’équipe de France s’est relancée en vue du Mondial 2022. L’Euro est digéré.
De notre envoyé spécial à Milan
La Ligue des nations n’a pas l’importance ni la beauté d’un Euro, encore moins d’une Coupe du monde, le grand public en comprend à peine le fonctionnement, mais, à voir le bonheur des Bleus au moment de soulever un nouveau trophée dimanche soir à San Siro, cette semaine comptera dans la vie de l’équipe de France.
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Tout n’est pas parfait, mais, en trois jours, les champions du monde, avec panache et fraîcheur, ont tour à tour rossé la Belgique et l’Espagne – soit la première nation au classement Fifa et une Roja tombeuse de l’Italie championne d’Europe en demi-finale – pour une opération reconquête réussie avec brio trois mois après l’échec de l’Euro.
En débarquant en Italie mercredi, après le dernier été pourri, les hommes de Didier Deschamps trimbalaient en bandoulière une flopée de questions pour au final en repartir dimanche avec son lot de réponses et une confiance retrouvée. À treize mois du Mondial au Qatar, l’étincelle et la soif de vaincre perdurent toujours
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