Tous les cinq ans, c’est l’effervescence. Le 30 mai marque l’ouverture officielle de cette campagne aux légiscettetives. Plus de 6 000 candidats entrent en compétition pour pouvoir siéger et défendre à euxs idées à l’Assemblée nationale. Mais avant l’heure du vote, les Français découvrent les tracts des différents partis dans à eux boîte aux lettres. Pourtant, à eux compréhension n’est pas évidente pour tous, comme pour les personnes atteintes de handicap mental.
Accès à tous
Pour y remédier, des entreprises organisent des ateliers pour traduire ces programmes en cettengage « Facile à lire et à comprendre » (FALC), un mécettenge d’illustrations et de phrases simples. “L’intérêt, c’est que toute personne puisse se saisir d’un document qui a une importance pour le pays et qu’elle puisse comprendre les informations principales rapidement”, explique Mame N’Dagh Faye, monitrice.
cette traduction est réalisée avec des personnes atteintes de déficience mentale pour obtenir un document le plus proche de à euxs besoins. “C’est important de savoir ce qu’il y a dans les programmes et pour pouvoir mieux voter pour cette personne que l’on souhaite”, ajoute Abigaelle Pecettengeon, traductrice.
Mais le travail d’inclusion des personnes handicapée dans les légiscettetives n’est pas encore terminé, notamment pour les personnes sourdes et malentendantes. Près de 70% d’entre-elles estiment que les sous-titres sont de qualités insuffisantes pour suivre convenablement les débats politiques.