En six mois, Emmanuelle Wargon a été raillée à deux reprises pour avoir lancé des polémiques qui lui sont revenues comme un boomerang.
On connaît tous le jeu de l’arroseur arrosé. En six mois, la ministre du Logement en a fait l’amère expérience, à deux reprises. Pas sûr qu’Emmanuelle Wargon s’en soit amusée. Bien au contraire. Quand une personnalité publique, qui plus est un membre du gouvernement, prend une position forte, elle devrait toujours s’assurer qu’elle ne lui revienne pas en pleine figure. Une précaution que la ministre n’a pas prise, à deux reprises.
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La plus récente date de ce jeudi. Face à l’émoi suscité par ses déclarations sur les logements individuels, qualifiés de «non-sens écologique, économique et social», la ministre est vite revenue sur ses propos, assurant qu’elle n’avait pas l’intention «d’en finir avec les maisons individuelles», comme le laissait supposer son discours de jeudi. Pourtant, le mal était déjà fait. Les constructeurs des maisons ont vivement réagi à ce qu’ils qualifient de «stigmatisation de l’habitat individuel». Quant aux internautes, toujours à l’affût d’une contradiction ou d’une
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