Nico Wouters revient sur une quasi-tradition : l’engagement de volontaires belges dans différents conflits. Au-delà des risques physiques qu’ils encourent, estime l’historien, ceux-ci mettent de l’huile sur le feu diplomatique que doit gérer la Belgique.
Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Forum
Par Pascal Martin
Publié le 8/03/2022 à 15:30
Temps de lecture: 6 min
Nico Wouters est responsable du CegeSoma (Archives de l’Etat), professeur associé à l’université de Gand et (co-)rédacteur en chef de la Revue belge d’Histoire contemporaine. Ses travaux ont croisé la route des engagés volontaires pour le front de l’Est. Mais on retrouve également des Belges dans la Guerre civile d’Espagne, les guerres de Corée et d’Algérie, ou encore la sécession katangaise. Chaque contexte fut différent et appelle des nuances.
Des engagés volontaires belges se sont battus dans différents conflits. Y a-t-il un profil type ?
Cet article est réservé aux abonnés
Avec cette offre, profitez de :
- L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
- Le journal en version numérique
- Un confort de lecture avec publicité limitée