RÉCIT – Avec le Covid-19, dès le printemps 2020, de riches américains ont cherché à déménager pour des habitations plus grandes, généralement plus éloignées des centres urbains
Correspondant à Washington
La flambée historique des prix de l’immobilier aux États-Unis de ces derniers mois marque un peu le pas. Pour autant, la politique de la Réserve fédérale promet d’alimenter encore pendant des mois la demande des foyers aisés qui ont les moyens de s’endetter.
En revanche pour les primo-accédants aux revenus modestes, les prix élevés restent un énorme handicap. Pour l’instant la légère augmentation de l’offre de propriétés à vendre ne suffit pas à le compenser.
À lire aussiPourquoi les prix de l’immobilier s’envolent partout dans le monde
Le prix médian de revente de propriétés a chuté de 0,8 % en juillet, après avoir atteint un record le mois précédent à 362.000 dollars. L’augmentation par rapport à la même époque en 2020 est certes encore de 17,8 %, mais elle recule maintenant depuis trois mois.
Autre signe de léger apaisement: le nombre de signatures de promesses de vente a chuté en juillet, et ce pour le deuxième mois consécutif. «Nous commençons à voir une hausse du nombre de propriétés à vendre, ce qui devrait réduire l’intensité des enchères
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 75% à découvrir.
Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.
Continuez à lire votre article pour 1€ le premier mois
Déjà abonné ?
Connectez-vous